Le laugavegur, plus beau trek d’Islande

Islande, terre de glace et de feu. Ile naturelle et sauvage au climat hostile. Volcans, rivières, mer, montagnes, cascades, … l’Islande, terre de tous les contrastes nous a permis de partir à la découverte de contrées à l’état brut autour du célèbre trek du Laugavegur. 

Le parcours

Nous avons relié Landmannalaugar à Skogar, ce qui représente en réalité 2 treks selon les guides, le 1er trek reliant Landmannalaugar à Thorsmörk (55 km) s’intitulant le Laugavegur et le 2ème reliant Porsmörk à Skogar faisant 25km.

Nous avons réalisé le trek du nord vers le sud en démarrant de Landmannalaugar.

Accès à Landmannalaugar

Nous sommes partis de Reykyavik en prenant le car (société Trex) de 7h30 au Campsite. En saison, 2 sociétés de car relient la capitale à Landmannalaugar (autre société Icelandbus) mais nous vous conseillons de réserver votre trajet quelques jours à l’avance. Comptez aux alentours de 70€ le trajet de 4 heures. Le trajet nous a permis de découvrir déjà de très beaux paysages. Les 60 derniers kilomètres se font sur une route de type chemins de terre qui secouent assez bien et offrent une magnifique sur le volcan Hekla.

1ère impressions sur Landmannalaugar

Cela faisait des mois que nous regardions ces paysages colorés dans les reportages et en photos et ca y est nous y sommes. Les montagnes de couleurs ocres et jaunes nous ravissent et nous décidons de rester 2 nuits sur place afin de découvrir la région avant de démarrer le trek. De plus, nous avons envie de profiter un maximum de la source d’eau chaude naturelle se trouvant sur place nous permettant de prendre des bains grandeur nature avec une eau à +-35-40°C.

Nous sommes au cœur d’une région volcanique, au bord d’un champ de lave et à proximité de l’Hekla, un des plus grands volcans  de l’île, un endroit idéal pour déconnecter de la réalité.

Etapes du trek

Jour 1 : Landmannalaugar – Álftavatn (24km)

Après 2 jours passés à randonner et à nous mettre en jambes dans la région nous prenons nos sacs à dos et démarrons. Il y a un peu de monde dont un grand groupe d’une cinquantaine de personnes mais nous démarrons à notre aise après eux histoire de randonner dans le calme. La journée n’est à priori pas très longue… mais on est jamais à l’abri de surprise.

Le chemin commence par traverser un champ de lave vieux de plusieurs centaines d’années et une odeur de souffre nous entoure à certains endroits. Le chemin commence par une montée de +- 2h sans trop de difficultés. Peut-être la difficulté est-elle atténuée par la beauté des paysages qui s’offrent à nous. Nous avons de la chance de parcourir cette partie du trajet sous un beau soleil mettant vraiment en valeur les couleurs ocres des montagnes. Il n’y a pas de mots pour décrire la beauté des paysages et nous ne comptons plus le nombre de « Wahou » sur la journée.

Nous avons également l’occasion de passer à côté de marmites d’eau bouillonnante, quel spectacle !

L’étape du jour nous permettra d’atteindre le point culminant du trek à 1141m en arrivant au refuge d’Hrafntinnusker. Nous pensions planter notre tente au refuge mais le gardien nous signale qu’une tempête est attendue pour la nuit et nous conseiller de continuer jusqu’au refuge suivant car les nuits sont plutôt fraiches (-7 degrés) et nous serions très exposés du vent. Ce n’était pas prévu mais nous préférons miser sur la sécurité et reprenons la route pour 12 nouveaux kilomètres.

Les paysages changent, nous traversons quelques névés et admirons les montagnes enneigées et grottes de glace. Cette étape nous offre tellement de contrastes qu’elle en fait une de nos plus belles journées de trek de toutes nos aventures.

La route descend petit à petit et nous offre des points de vue magnifiques sur les glaciers et le lac. Nous avons même une vue sur le prochain refuge que nous n’attigerons que 2h plus tard après une longue descente de 500m de dénivelé et un passage à gué. Arrivé au refuge, nous sommes partis à la recherche de pierres pour attacher au maximum notre tente comme nos voisins car la tempête s’annonce assez forte. 

Jour 2 : Álftavatn – Hvanngil (4km)

Réveil assez tôt par le vent soufflant à + de 55km/h au pied du lac. Nous passons une grosse partie de la matinée à l’abri dans la tente qui a tendance à plier de plus en plus. Une auberge pourra nous accueillir à partir de midi seulement. Les tentes avoisinantes cassent les unes après les autres. Nous décidons de replier la tente à notre tour et nous refugions dans l’auberge une bonne partie de l’après midi. Ce n’est qu’après 17h que nous décidons de reprendre notre chemin suite à une accalmie de la tempête. Décidément, l’Islande est pleine de surprises. Il est déjà tard, nous décidons de nous arrêter à la petite bergerie située à seulement 4km où nous serons davantage à l’abri en cas de nouvelles averses.

Jour 3 : Hvanngil – Emstur (12km)

Nous n’avons pas vraiment de chance sur cette étape car la pluie nous a accompagné du début à la fin. Peu après notre départ, nous devons franchir un important passage à gué qui nous a bien réveillé avant d’entamer notre longue, très longue traversée du désert. Une étape sans aucun dénivelé sous une pluie battante donnant des allures très grises et très tristes aux montagnes nous entourant. Nous nous sentons assez isolés et un peu découragés sur cette étape.

Nous sommes finalement content d’arriver au refuge où nous décidons de dormir à l’extérieur plutôt qu’en tente pour nous permettre de sécher nos vêtements au coin du feu.

Jour 4 : Emstur – Thorsmork (15km)

Très belle journée sous le soleil nous offrant une magnifique vue sur le glacier du Mýrdalsjökull, quatrième plus grand glacier de l’île. Nous longeons un canyon aux eaux tumultueuses et les paysages s’adoucissent de plus en plus, laissant la place à des paysages beaucoup plus verts et herbacés. Nous profitons pour faire plusieurs pauses dans ces contrées que nous quittons déjà le coeur serré.

Avant de traverser la forêt de Thorsmork qui nous conduira au Camping Volcano Hut, nous avons droit à un dernier passage à gué avec de l’eau arrivant au dessus des genoux histoire de terminer cette journée en beauté.

Jour 5 : Thorsmork – Fimmvörðuháls (12 km)

C’est ressourcé et requinqué que nous entamons cette 2ème partie de notre trek. Journée assez sportive car les montées sont importantes avec un dénivelé de +-900 mètres depuis le camping où nous étions. En réalité, 3 campings se trouvent à Thorsmork. Il est plutôt conseillé aux personnes désirant continuer jusque Skogar de loger dans les campings d’Husadalur et de Basar se trouvant sur le chemin mais nous avions opté pour le Vulcano Hut pour son sauna et son restaurant. Beaucoup de trekkeurs terminent leurs aventures et nous partons seuls vers notre la suite de nos aventures.

Grosse ascension depuis le refuge de Basar jusqu’au volcan Eyjafjallajökull connu pour avoir paralysé une partie du ciel aérien après être entré en éruption en 2010. La traversée du champ de lave est impressionnante, les roches sont encore très friables et d’une couleur rouge foncée.

Journée un peu compliquée pour Aurélie et son vertige. En effet, nous devons traverser un petit passage avec des chaînes environ 2 km avant le volcan et la descente vers le refuge est très raide sur une montagne verglacée. Il s’agira de la seule portion ayant posé quelques soucis sur tout le trek.

Arrivé au refuge, nous installons notre tente mais la gardienne, une adorable petite mamy nous invite à dormir à l’intérieur pour ne pas avoir froid. Nous passerons une nuit inoubliable, réveillé en pleine nuit par un randonneur insomniaque ayant vu une aurore boréale.

Jour 6 : Fimmvörðuháls – Skogar (13 km)

Nous sommes déjà au dernier jour de notre trek et c’est avec beaucoup de nostalgie que nous démarrons. Les 1ères kilomètres nous semblent assez monotones car se font sur un chemin de pierres. Au fil des kilomètres, nous croisons de plus en plus de randonneurs à la journée. Nous longeons un canyon et voyons apparaître les 1ères cascades avant qu’elles ne s’enchaînent jusque la célèbre cascade de Skogar, haute de 62 mètres qui annonce notre arrivée avec la plus grande des fiertés.

Logement

Comme expliqué dans le descriptif de nos étapes, nous avons voyagé avec notre tente. En tente, il faut compter un peu moins de 20€/personne la nuit. En refuge, ce montant grimpe jusqu’à 70€/personne la nuit pour un simple matelas dans un dortoir (parfois posé à même le sol).

Ravitaillement et eau

Nos repas étaient composés comme ceci : avoine le matin, soupe en sachet et pain le midi et enfin repas lyophilisé le soir. Le tout accompagné de barres énergétiques au besoin en journée. Chaque refuge vend également bière, coca, chocolat et beef jerky (du boeuf seché). Il n’y a pas la possibilité d’acheter de quoi se ravitailler d’autres denrées sauf à Landmannalaugar où il y a un bus faisant office de petit magasin.

Attention : pas de ravitaillement eau dans le dernier refuge avant Skogar. Ravitaillement possible mais payant.

Bon à savoir : dans presque tous les refuges, des trekkeurs laissent des denrées (comme du riz, des pâtes, de la confiture,…) et du gaz.

Il est également important à savoir qu’il n’y a pas de salle hors sac dans laquelle vous pouvez vous réchauffer. Il y a toutefois des tables et des bancs à l’abri d’une grande tente à Landmannalaugar et Emstur et une bergerie à Hvangil.

Météo

Nous sommes partis durant la période estivale (du 13 au 27 août) et sincèrement, après tout ce que nous avions pu lire sur le sujet, nous avons été plutôt agréablement surpris par la météo. En effet, sur 14 jours en Islande dont 6 en trek, nous n’avons eu que 2 jours complets de pluie et un climat assez changeant 2 autres jours. Un proverbe dit qu’en Islande, si vous n’êtes pas content du temps il faut attendre 15 min. Pour le coup, le proverbe s’est avéré vrai à 2 reprises mais n’a pas résisté à la tempête.

Retour du trek

Des bus relient Thorsmork et Skogar à Landmannalaugar et à Reykyavik. Personnellement, nous avons poursuivi nos aventures sur les îles Vestmann en partant de Skogar mais ce bus relie également Reykyavik et Hofn (à l’est de l’île). Le bus s’arrête sur le parking devant l’hôtel restaurant avec 1 passage quotidien.

Difficulté du trek

Je pense que la difficulté du trek se trouve plutôt dans l incertitude des conditions météo. En effet, une journée peut se passer sans aucune difficulté par une journée ensoleillée mais peut se révéler compliquée dans des conditions de vent et de pluie qui rendraient les sentiers glissants. Notons sue le trek est tres tres bien balisé et que vous trouverez également assez régulièrement des panneaux indicateurs reprenant les kilomètres. Ce trek ne nous (humblement) pas semblé difficile. Même s il y avait pas mal de dénivelés ils ont été gérés tout comme la grande majorité des descentes (grande appréhension d Aurélie n ayant pas le pied très sûr) et le passage avec les chaînes.

Impressions générales

Ce trek nous a clairement permis de rêver et nous en a mis plein la vue à chaque pas. A travers ses étendues sauvages et désertiques à perte de vue, ce trek mérite bien de figurer parmi les plus beaux du monde. Pour Aurélie, ayant connu quelques galères au cours de l année, ce trek fut clairement une thérapie. On se sent tellement petit et insignifiant face à un volcan, face à cette terre mère brut, face à l immensité… Ce trek nous a permis une fois de plus de nous dépasser, de déconnecter et surtout de nous rapprocher. Ce trek nous a également permis de faire énormément de rencontres, qu’il s agissent des belges, d autrichiens , d américains, d islandais, d allemands, de français, de chinois, d israéliens,… ces rencontres enrichissent à chaque fois nos aventures et nos souvenirs. Ce trek nous l avons vécu à 200% à notre façon, sans courir, en prenant le temps d admirer la beauté du monde que nous avions devant nous et nous en sommes pas répartis les mêmes.

Boucle autour du lac de Virelles

Belle boucle autour du lac de Virelles en passant par les bois de Virelles, Blaimont, Vaulx et Lompret (un des plus beaux villages de Wallonie).

Belle randonnée de 16km entre rivière, forêt et champs.

Le long de l’eau Blanche

Traversée par la forêt du Pays de Chimay

Informations pratiques :

Départ de la randonnée : Parking de l’aquascope à Virelles (rue du lac à Virelles)

Randonnée en boucle de 15,9km suivant plusieurs balisages différents

Parcours sur l’application Wikiloc : https://fr.wikiloc.com/itineraires-randonnee/boucle-autour-du-lac-de-virelles-87139519

Après la randonnée, possibilité de découvrir l’Aquascope

Randonnée dans le Westhoek

Nous avons profité des beaux jours de cette semaine de carnaval pour prendre l’air marin sur la côte belge et la Panne. Nous avons découvert ses terrasses, sa plage, sa grand roue mais surtout la réserve du Westhoek.

Appelé également le Sahara Flamand, la réserve du Westhoek qui occupe 345 hectares fait partie de la plus grande zone de dunes ininterrompues de la côte flamande.

Ce paysage protégé cumule les types de dunes et les cordons dunaires dénudés y succèdent aux broussailles impénétrables, aux herbages et aux bois.

Au cœur de cette vaste étendue, en saison, il est également possible d’apercevoir de nombreux animaux comme des lapins, des tritons, des chevaux, des hermines et des vaches.

Le plan de la balade est disponible gratuitement à l’Office du tourisme de la Panne ou en téléchargement via ce lien.

Nous avons réalisé une balade de 8,5km. Notre balade est disponible sur wikiloc en cliquant sur ce lien

Autour de la forteresse de Poilvache et la réserve naturelle de champale

Retour sur une randonnée réalisée au printemps 2021 autour de la forteresse de Poilvache près d’Yvoir nous offrant de superbes vues sur la vallée de la Meuse.

Cette randonnée démarre à partir du centre d’Yvoir que nous quittons assez rapidement pour grimper sur les hauteurs. Nous profitons de cette journée de randonnée pour réaliser une circuit de géocaching dans la région qui nous emmène dans le bois d’Evrehailles.

Arrivé à Evrehailles, nous quittons le village et nous dirigeons vers la Forteresse de Poilvache.

Poilvache est le plus vaste ensemble fortifié du Moyen-Âge encore existant dans la vallée de la Meuse.  Le site occupe un éperon calcaire dominant le fleuve et le charmant village de Houx.  Les murailles du 13e au 15e siècle, flanquées de tours, s’étendaient à l’époque sur 2,5 hectares et protégeaient la «ville» et le «château».  La forteresse est accessible au public de Pâques à octobre. Plus d’informations.

Avant de visiter la forteresse, nous sommes descendus pour l’admirer sur son rocher en pique niquant le long de la Meuse.

Nous avons ensuite pénétré dans la réserve naturelle de Poilvache pour rejoindre la forteresse qui nous offrira également une magnifique vue sur la Meuse et l’île d’Houx.

Après cette visite, la randonnée emprunte des sentiers tantôt champêtres tantôt boisés pour rejoindre les crêtes de la réserve naturelle de Champale avant de rentrer sur Yvoir. Attention aux personnes victimes de vertige.

Départ de la randonnée : Place d’Yvoir

Randonnée en boucle de 14,5 km avec 400m de dénivelé +.

ℹ️ Itinéraire disponible sur wikiloc 👇https://fr.wikiloc.com/itineraires-randonnee/balade-sur-les-hauteurs-d-y-voir-poilvache-et-la-reserve-naturelle-de-champale-69031664

Le Ninglinspo, la Chefna et la sauvage Amblève

Situé à proximité d’Aywaille, Le vallon du Ninglinspo, unique torrent de Belgique, vous emmène dans un cadre enchanteur sur des chemins escarpés et des ruisseaux féeriques.

Découvrez de nombreuses cascades aux noms rêveurs : Bain de Diane, Bain du cerf, Bain de Vénus… le Ninglinspo vous émerveillera avec ses allures et ses vasques d’eau nous rappelant la Corse (la chaleur en moins).

La balade que nous avons réalisée emprunte le sentier le long du Ninglinspo et ses bains et continuant dans la forêt pour rejoindre la plus sauvage mais tout aussi belle vallée de la Chefna. Le Chefna, petite soeur du Ninglinspo dans laquelle se cache quelques trésors se jette dans l’Amblève au Fonds des Quarreux. Vous longez cette petite merveille jusqu’à la cabane de l’orpailleur où vous pouvez effectuer une petite pause avant de rejoindre le bras de l’Amblève.

Nous déconseillons de réaliser cette balade par temps pluvieux !

Départ de la randonnée : Parking du Ninglinspo

Randonnée de 15 km

ℹ️ Itinéraire disponible sur wikiloc 👇

https://fr.wikiloc.com/…/le-ninglinspo-le-chefna-et-la…

Possibilité de raccourcir la randonnée en suivre la randonnée balisée 🟦 de 6 km.

Dans les Vosges : randonnée sous la neige au Hohneck

Cet hiver, pour la 3ème année consécutive nous sommes partis à la découverte des Vosges et plus particulièrement la région de Gérardmer.

Alors que nous avions déjà atteint le Petit Ballon et le Grand Ballon, nous nous sommes lancés le défi cette année de grimper au dessus du Hohneck, non pas à 2 en amoureux mais à 3 en famille (avec une demoiselle de 9 ans) avec pas mal de neige en prime pour pimenter un peu le voyage.

Lieu de départ de la randonnée

Pour atteindre le Hohneck, plusieurs possibilités s’offrent à vous :

  • Démarrer la rando à partir de l’auberge du pied du Hohneck situé sur la route des crêtes à La Bresse (le sommet se trouve à 30 minutes de marche)
  • Prendre le sentier des roches à partir du Col de la Schlut. Terrain rocailleux et empruntant des crêtes / mission suicide en hiver.
  • Suivre la randonnée balisée d’un rectangle rouge à partir du Col de la Schlut (temps estimé jusqu’au Hohneck 1h45).

Notre expérience

Ayant envie de profiter un maximum de la neige tout en restant dans une randonnée familiale nous avons suivi le balisage rectangle rouge.

Belle randonnée sans difficulté particulière démarrant directement dans les bois avant d’atteindre la Réserve Naturelle Frankenthal-Missheimle.

A la sortie de la forêt, nous avons suivi une partie de la piste de ski de fond pour nous diriger ensuite vers les falaises de Frankenthal. Le Hohneck n’est alors plus qu’à 30 min de marche (quelque peu ralentie malgré tout par la neige 😉 ) . Nous avons par ailleurs eu la chance d’apercevoir un groupe de chamois sur ces falaises. Attention toutefois car cette partie peut se révéler un peu glissante.

Le chalet-restaurant du sommet du Hohneck (fermé pour la saison hivernale) pointe alors le bout de son nez. Nous y arriverons après une petite montée dans une neige assez dense.

Nous voilà arrivés au sommet du Hohneck, le plus haut sommet du département des Vosges à 1366m d’altitude (et 3ème sommet du massif des Vosges). Une belle vue malgré la brume présente qui se dissipait par moment.

La descente vers le parking nous offrira de beaux points de vue sous un beau soleil cette fois.